A chaque printemps dans l'hémisphère nord et dans l'hémisphère sud, le "trou" (la diminution devrait-on dire) de la couche d'ozone commence à se manifester et à s’amplifier jusqu'en été.
Depuis début septembre en Antarctique, il couvre plus de 21 millions de km² malgré la diminution constante du chlore et du brome dans la stratosphère.
Les données prises au sol et depuis satellites sont modélisées aujourd'hui grâce à un programme conçu à l'Institut d'Aéronomie Spatiale de Belgique.
Ce n'est que vers 2050 que les modèles climatiques prévoient un retour aux valeurs de 1980...